Faisant suite à l’obsolescence de l’ancienne station, la construction de la nouvelle station d’épuration de Saint-Gilles, au sud-est de Nîmes, a été menée selon une démarche environnementale globale à l’ensemble du site. D’une capacité de 24 000 équivalents-habitants, pouvant à terme passer à 36 000 équivalents-habitants, elle a permis d’améliorer la qualité de l’eau du canal du Rhône à Sète et de faire des économies d’énergie grâce aux nouvelles technologies mises en oeuvre dans le process de traitement des eaux usées.
La construction des bureaux et vestiaires, seuls à être dans le périmètre de la démarche BDO, a répondu aux objectifs de confort olfactif, thermique, visuel et acoustique.
Le parcours pédagogique sur l’eau permettant de découvrir les différents ouvrages n’a pas encore pu être utilisé comme prévu en raison de la pandémie de Covid-19 et certaines plantations nécessitent d’être reprises.
Une gestion précise de l’évolution de la biodiversité est mise en oeuvre de façon à atteindre les objectifs compensatoires imposés par les pouvoirs publics pour ce type de projet.